Pouvoir se déplacer seul, prendre les transports en commun : une liberté qui se conquiert progressivement et favorise l’inclusion scolaire et professionnelle. Cet apprentissage demande patience et persévérance, parfois sur de longues années, selon la nature de la déficience et sa sévérité. Démonstration dans deux situations de handicap apparemment très différentes.
A la section d’initiation et de première formation professionnelle (SIPFP) de Suresnes. L’établissement accueille des jeunes déficients intellectuels avec troubles associés. Ils ont entre 14 et 20 ans. "Quand ils arrivent, l’objectif est qu’ils soient capables d’effectuer le transport entre leur domicile et l’établissement", précise Monique Recan, directrice.
Au SAAAS (service d’aide à l’acquisition de l’autonomie et à la scolarisation) de l’association "Clin d’œil" à Dammarie-les-Lys, qui accompagne des jeunes avec une déficience visuelle, du transport en taxi pour les moins autonomes aux multiples trajets effectués seuls, tous les cas sont possibles.
L'ONISEP développe son article (publié le 29/04/13) en 3 points :
=> Se repérer, sans voir ou sans savoir lire ;
=> Donner du temps au temps ;
=> Les nouvelles technologies : un tremplin vers la liberté.
Article à lire dans son intégralité sur le site www.onisep.fr/
commenter cet article …